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Wizway Solutions – après le paiement, la carte transport s’invite dans nos mobiles NFC (1)

Wizway - la mobilité sans contact NFC

Wizway – la mobilité sans contact NFC

« Madame Martin habite à Saint-Quentin-en-Yvelines, dans la banlieue ouest de Paris. Elle se rend tous les jours à Paris pour travailler. Sa voiture, qu’elle utilise pour aller au parc de stationnement de la gare est en révision. À l’aide de son mobile, elle repère une Twizy, une voiture électrique en libre-service (2) dans sa ville et la réserve à distance. Elle la retrouve et la démarre avec une carte sans contact NFC. Une fois à la gare, après avoir vérifié avec son mobile l’horaire réel de son train et le quai, elle valide son trajet avec sa carte sans contact Navigo. Avant d’arriver à la gare Montparnasse, elle vérifie la présence toujours sur son mobile d’un Vélib’ et se rend à son travail, en prenant le vélo, toujours grâce à sa carte sans contact Navigo. Avec sa propre voiture (plutôt que l’utilisation de la Twizy), elle aurait pu également se garer dans le parc de stationnement de la gare toujours avec une carte sans contact.

Tout est réel dans l’exemple précédent et dans certaines villes comme Nice, Caen et Strasbourg, l’utilisation du mobile NFC est déjà possible pour tous ces mêmes services sans contact. L’expérience de Madame Martin pourra s’effectuer totalement avec le mobile NFC en y ajoutant des services complémentaires de type géolocalisation, horaires en direct, achat de tickets, accès aux réseaux sociaux. Dans l’exemple, ce n’est pas moins de trois voire quatre cartes différentes (Navigo + Vélib, Twizy, parc de stationnement) que Mme Martin possède ; trois ou quatre cartes (3) qui pourraient être dématérialisées sur un mobile NFC. »

Ce texte, extrait de la page 39 du livre «  Le mobile NFC, télécommande de notre quotidien » paru en mars 2015 est gentiment prémonitoire (4) de l’annonce effectuée début décembre par 4 entreprises majeures : la SNCF, la RATP, Orange et Gemalto : la création d’une société commune, Wizway solutions ayant pour but de développer les technologies et services permettant de dématérialiser de manière sécurisée nos cartes de transport sur nos mobiles NFC. De la même manière que nos cartes de paiement bancaires peuvent maintenant être stockées sur des mobiles NFC (BNPP, Crédit Mutuel/CIC, Banque Postale, Société Générale et des tests sont en cours à la BPCE et au Crédit Agricole) sans oublier Apple Pay, Samsung Pay, Orange Cash ou le Google Wallet, nos cartes de transports pourront être stockées dans nos mobiles NFC et fonctionner, tout comme les cartes, mobiles éteints ou sans batterie (et c’est déjà le cas, par exemple, à Caen (5) et d’autres villes dans le monde).

Les dirigeants de la SNCF RATP Orange et Gemalto

Les dirigeants de la SNCF RATP Orange et Gemalto

Preuve de l’importance de cette annonce et de ce projet pour les quatre entreprises, ce sont bien leurs présidents qui étaient réunis sur un même plateau pour lancer Wizway Solutions.

Même si ces quatre acteurs sont les fondateurs de ce projet ambitieux, conçu dans le cadre des 34 plans industriels du gouvernement, d’autres acteurs, aussi bien du monde des télécoms comme SFR ou Bouygues Telecom, des transports  comme Transdev qui a déjà annoncé sa participation ou des mobiles, devraient rejoindre rapidement le projet. Les premiers services résultant de ces développements communs devraient voir le jour fin 2016.

Deux questions étaient sur toutes les lèvres des participants à ce lancement : quelle plateforme mobile serait supportée,  Android bien sûr et Windows Mobile, les deux OS très présents sur le NFC mais quid Apple iOS et puis qu’en-est il du STIF, de Paris et l’Ile de France (dont l’infrastructure est déjà NFC (depuis quelque temps faut-il le rappeler) même si les franciliens ne bénéficient pas (encore) de la valeur ajoutée apportée par ce même NFC) ? Et même si il n’y a pas eu de réponses précises à ces deux questions, les éléments de langage utilisés par les dirigeants présents étaient plutôt positifs et relativement optimistes, laissant présager des discussions en cours.

Rappelons enfin que tout comme le parcours « commerce » où le paiement n’est qu’une composante parmi d’autres, la billettique – l’acte d’acheter un titre de transport et sa validation – n’est qu’une étape dans le parcours de l’usager « transport ». La suite ? Une multimodalité plus complète au fur et à mesure des accords avec des partenaires tels les vélos en libre-service ou les voitures en auto-partage, les application multi-services, les applications tourisme et affaires, les réseaux sociaux …. (6)

A suivre … en transport en commun bien sûr.

Pierre Métivier

Notes

  1. Cette première note pour nos amis à Strasbourg, Caen, Nice ou les utilisateurs des TER d’un certain nombre de régions en France qui connaissent déjà le transport mobile sans contact.
  2. A l’heure où vous lisez ce texte, l’expérimentation TwizyWay de Saint-Quentin-en-Yvelines est arrêtée mais d’autres systèmes de location de voitures électriques se développent comme par exemple Wattmobile.
  3. La carte Vélib’ existe indépendemment de la carte Navigo ou il est possible de coupler les deux fonctionnalités sur la carte Navigo.
  4. Doublement prémonitoire car non seulement cet article parle de multimodalité via mobile NFC (ce qui n’est pas une première) mais la vidéo de présentation ci-dessus voit un voyageur partir de la même gare de Saint Quentin en Yvelines pour aller à la gare Montparnasse. Ceci, dans la vidéo de Wizway, notre voyageur part ensuite vers Strasbourg. Dans mon exemple, plus basé sur l’intermodalité par delà le transport en commun : bus, métro, trains, mon voyageur utilise également une voiture en auto partage et un vélo en libre service.
  5. Si cela fonctionne déjà à Caen, pourquoi est-ce une annonce importante ? Principalement parce que Wizway Solutions a pour but d’industrialiser ce déploiement, de faciliter cette dématérialisation des cartes de transports sans être obligé de refaire le travail pour chaque projet local.
  6. De nombreux autres exemples sont disponibles dans le livre of course #selfpromo

Pour aller plus loin

Fin annoncée du roaming (ou itinérance) entre opérateurs mobiles en Europe, une bonne nouvelle également pour les services sans contact NFC

Jack Sparrow et l'itinérance bien sûr. Sinon, la réponse en fin de billet.

Jack Sparrow et l’itinérance bien sûr. Sinon, la réponse en fin de billet.

Mobile : le roaming tirera bien sa révérence en juin 2017.  Cette information publiée par ZDNet en provenance de l’Union européenne est passée relativement inaperçue la semaine dernière et c’est pourtant une bonne nouvelle pour les citoyens européens qui voyagent. Avec la suppression des coûts liés au roaming international (1) — le coût des communications pour les utilisateurs de mobiles dans un pays étranger avec un abonnement non local à ce pays va baisser. Les français en visite en Allemagne, les italiens de passage aux Pays-bas paieront donc moins chers leurs communications mobiles.

Cette fin programmée du roaming est à prendre avec prudence puisque ce n’est pas la première fois qu’elle est annoncée comme nous le montrent ces copies d’écran ci-dessous. Ceci dit, si elle est confirmée,  c’est aussi une bonne nouvelle pour le développement des services mobiles sans contact en général car elle s’applique également à la donnée.

Du retard dans l'arrêt de l'itinérance illustré ZDNet

Du retard dans l’arrêt de l’itinérance illustré ZDNet

 

Nous avions déjà abordé le sujet du roaming dans ce blog le 7 janvier 2012 – Tourisme et NFC – La Joconde bientôt transformée en borne d’accès WiFi ?, billet que nous ne pouvons que recommander de (re)lire.

Tourisme et NFC – La Joconde bientôt transformée en borne d’accès WiFi ?

Tourisme et NFC – La Joconde bientôt transformée en borne d’accès WiFi ?

Petit rappel – Dans le cas des services où le sans contact mobile permet de simplifier l’accès à de nombreuses informations. Exemples : les horaires en temps-réel des bus, les smart « affiche », le mobilier urbain connecté, les informations sur la ville, les parcours touristiques, les applications ville / commerce comme le Pass Incity de Caen. La technologie NFC permet d’automatiser la requête, de l’automatiser en approchant le mobile de l’étiquette sur l’arrêt de bus ou à l’entrée du magasin mais ne va pas chercher l’information, un rôle dédié au navigateur du mobile ou à l’application dédiée Et pour cela, il y a besoin de connectivité Internet. Le mobile a besoin d’être connecté. En intérieur, c’est le plus souvent en Wifi (lorsque disponible et installé), mais à l’extérieur, hors spot wifi, c’est la plupart du temps la connectivité 3G/4G qui est sollicité et, si de par son coût, elle a été déconnecté par le consommateur en particulier visiteur d’un autre pays, alors le service ne peut être utilisé (2).

Nous avions écrit

« Transformer la Joconde en borne d’accès Wifi est bien entendu une boutade mais il faudra trouver une solution pour donner un accès données facile et « gratuit » aux touristes en provenance du monde entier pour développer les services de type affiches intelligentes. »

puis

« On pourrait demander aux opérateurs télécom partout dans le monde de réduire voire supprimer les coûts de roaming internationaux pour développer le tourisme mais cette solution semble peu probable.

Ce qui signifie clairement que pour réellement utiliser des solutions affiches intelligentes à base d’étiquettes NFC à des fins touristiques, il faut donc fournir un accès WiFi gratuit et ouvert, sans inscription, dans tous les endroits (la rue, les monuments, les parcs, les lieux, les musées, les gares,… ) où ces affiches seront apposées. » 

Dans notre post de Janvier 2012, nous ne pensions pas que les opérateur télécom supprimeraient d’eux-même ces coûts pour les consommateurs (et donc des sources de revenus pour ces entreprises) mais l’UE leur a forcé la main.

Musée de Normandie @ Caen

Musée de Normandie @ Caen

On le voit bien avec l’usage qui s’est développé incroyablement vite de la carte de paiement sans contact dans le métro de Londres comme billet sans avoir à acheter de ticket spécifique, tout ce qui simplifie l’usage accélère l’appropriation. Tout comme l’utilisation de la carte bancaire sans contact évite de prendre un ticket à l’automate, l’absence de roaming va de même enlever le frein pour les visiteurs étrangers à l’utilisation des services mobiles sans contact, simplement parce que la connectivité 3G/4G des visiteurs sera active et non régulièrement déconnectée. Pour un pays touristique comme la France, c’est un vrai plus en particulier dans les villes qui ont fait le pas vers la « smart city » et déjà installées des services sans contact dans le transport ou les parcours touristiques comme à Nice, Strasbourg ou Caen.

Finalement, il n’y aura pas besoin de transformer la Joconde en borne wifi et  c’est aussi une bonne nouvelle.

A suivre

Pierre Métivier

Notes

  1. Le roaming national est ce qui permet à un abonné de Free de téléphoner à un abonnée d’Orange. Des accords bien sûr indispensables mais pas si simple pour des sociétés en forte concurrence.
  2. Sauf à prévoir de stocker les données dans l’application elle-même, ce qui peut fonctionner lorsque les données sont statiques et non en temps réel. Le Pass Incity à Caen et de nombreuses applications muséales utilisent cette approche.

La réponse à la présence de Jack Sparrow dans ce billet sur l’itinérance

Why the roaming’s gone ? 🙂 et je suis conscient que « Why the roaming’s (still not) gone ? serait un meilleur texte mais Jack ne l’a pas dit.

 

Comprendre l’internet des objets à travers l’exemple du vélo !

C'est beau, Paris, à vélo, vu du Trocadéro

Internet des objets et vélo

La grande fête annuelle du Tour de France vient de s’achever.  C’est un événement sportif mais aussi technologique, nous en avions visité les coulisses l’année dernière. Cette année, les objets (et les coureurs) ont été (encore plus) connectés. Plus généralement, le vélo est non seulement devenu un « intranet des objets » (*) très complet et actif, c’est aussi probablement le tout premier comme nous allons le montrer.

L’internet des objets est un donc un sujet foisonnant de développements en tout genre – wearables, objets connectés grand public, M2M, domotique, smart cities, santé, … ceci dans tous les domaines de notre vie quotidienne et du monde industriel, des sujets régulièrement couverts dans ce blog. Il n’est pas toujours facile d’imaginer tous les enjeux, tous les facteurs, tous les acteurs.  C’est pour cela que nous vous proposons d’aborder le sujet à travers un exemple.  Dans ce billet, nous allons retrouver tous les mots-clés et autres buzzwords de l’internet des objets comme APIs, big data, capteurs, objets connectés et connexion d’objets existantsvêtements connectés, écologie, santé, energy harvesting,  infrastructure, mouvement make, mobilité, protocole, réseaux sociaux, standard, transhumanisme, universalité … Et cet exemple, c’est donc le vélo.

Pourquoi le vélo ? Pour de nombreuses raisons parmi lesquelles :

  • C’est un objet réellement étonnant, permettant à chacun d’entre nous d’améliorer ses capacités, ses performances en terme de #mobilité, d’aller plus loin, plus vite, de transporter plus de matériel, de personnes, avec notre seule énergie, sans apport d’énergie extérieure, sorte de #transhumanisme 1.0.
  • C’est un objet universel, de l’hipster new-yorkais en fixie au cyclotouriste de la Vallée de Chevreuse du dimanche matin, du retraité faisant ses courses à la maman emmenant ses enfants à l’école en vélo cargo, des paysans partout dans le monde amenant leur production au marché sans oublier le citadin se promenant en famille en vélo partagée ou l’élève se rendant à l’école. Chacun son usage, chacun son histoire, chacun son vélo. #universalité
  • C’est un objet générant sa propre énergie dès qu’il est en mouvement – récupérable sous forme de dynamo ou d’autres technologies, générant sa propre lumière ou rechargeant les batteries de ses versions à assistance électrique à #energyharvesting
  • C’est un objet reconnu pour ses effets bénéfiques pour la santé et dont les utilisateurs souhaitent mesurer les résultats. #health  Un exemple côté santé, la formidable aventure du mhealth Grand Tour d’Orange au service des diabétiques.
  • C’est un objet permettant la compétition et donc, de nouveau; des mesures correspondantes en terme de performances (vitesse, puissance, calories …) #quantifiedself
  • C’est un bel objet, qui permet tous les #design des plus classiques au plus révolutionnaires
    James Novak - impression 3D
    James Novak – impression 3D
  • C’est un objet au centre de grandes compétitions populaires comme le Tour de France, un événement permettant de tester et mettre en valeur de nouvelles technologies. Nous avons donc déjà abordé dans ce blog des déploiements technologiques liés au Tour de France et cette année plus encore avec le suivi en temps réel des coureurs. Voir les articles en fin de blog.
  • C’est un objet permettant de facilement porter, intégrer des devices /dispositifs technologiques tels ordinateurs de bord et autres compteurs et bien sûr de nombreux capteurs. #wearables #capteurs
  • C’est un objet mécanique, sans conçu pour être connecté et sans électronique par défaut. #connexion d’objets existants à l’Internet des objets vs. conception d’objets connectés.
Les wearables pas si nouveau

Les wearables pas si nouveau

Et tout cela a commencé bien avant l’avènement grand public des objets connectés et autres wearables. Les compteurs de vitesse mécanique existent depuis des dizaines d’années et cela fait 15 ou 20 ans que les sportifs – coureurs ou cyclos du dimanche ont leur « cardio », une ceinture leur permettant de mesurer et contrôler leur fréquence cardiaque, soit pour optimiser leur performance, soit par précaution, pour éviter de monter dans la zone rouge. Ces cardios #wireless sont les ancêtres des wearables et autres vêtements connectés d’aujourd’hui, tels Cityzen Sciences , la simple intégration dans une poche intégrée du vêtement d’un boitier bardé de capteurs avant les prochaines versions avec intégration directement dans les fibres du tissu.

L’internet des vélos, c’est aussi des #capteurs sur les ordinateurs de bord – vitesse, altitude, température, compte-tours (pédaliers) et l’intégration de toutes ces données dans un tableau de bord personnel, sur mobile ou PC, oui des applications énergivores sur mobile, de suivi des parcours utilisant GPS et capteurs intégrés du mobile. Des outils disponibles pour le grand public depuis des années, bien avant l’arrivée du terme internet des objets.

De nombreuses données sont bien sûr générées par nos utilisations de nos vélos, des applications et des ordinateurs de bord. Toutes celles citées précédemment mais aussi l’endroit où vous prenez votre vélo partagé et l’endroit où vous le reposez, les traces laissées dans vos mobiles, volontairement ou pas. #bigdata

Le protocole ANT+ poussé par le premier fabricant d’ordinateurs de vélo, Garmin, avec un grand nombre de partenaires et bien sûr des entreprises du même marché qui ne souhaitent pas participer. Essayer de faire dialoguer ensemble un ordinateur de bord Garmin, un pèse personne Withings, une montre Samsung Gear et un bracelet FitBit est une gageure réservée aux geeks. Et puis, protocole au centre de l’internet des vélos, il ne fait aucun sens pour l’agriculture ou l’aéronautique, ce qui montre, une fois de plus, que de penser un standard unique pour l’internet des objets est un non-sense. Et des APIs existent bien sûr comme le Cycling Analytics API.

Ce sont aussi des réseaux sociaux actifs et collaboratifs comme Strava ou Kappo où les participants peuvent comparer leurs performances, apprendre, échanger et partager leurs expériences, leur parcours.

Haïku

Haïku

C’est un formidable terrain d’expérimentation pour les startups – la pédale connectée de ConnectedCycle, ou Haiku,  pour afficher simplement sa route sur son guidon vu à #FENS2015, des protections de type airbag, des fléchages lumineux sur le sac à dos, des casques avec intégration de la réalité virtuelle, des antivols légers et efficaces, tous connectés. Rappelons nous aussi des expérimentations liées à l’écologie – le vélo et ses capteurs se déplacent et avec le GPS et un horodatage, de nombreuses informations permettent de cartographier de nombreux domaines et ouvrir la voie à des services collaboratifs.

Les grands groupes ont tous des projets de vélos connectés comme plateformes d’expérimentation de l’internet des objets comme Ford Intel ou Bosch pour ne citer que ces  exemples ou Orange dans le domaine de la santé avec son « mhealth grand tour » déjà cité.

C’est enfin la relation avec d’autres écosystèmes comme les infrastructures routières, la ville, les voitures automatiques comme la Google car. Ce sont toutes ces interactions de tous ces écosystèmes, tous ces intranets des objets, qui font et feront l’internet des objets.

Tout à l’heure, demain,  lorsque vous enfourcherez votre vélo quel qu’il soit, vous ferez (plus ou moins) partie de cet Internet des vélos sauf à ne pas avoir pas de mobiles avec vous … et encore !

A suivre … à bicyclette.

Pierre Métivier

Design Expo aux Arts et Metiers

Design Expo aux Arts et Metiers

Note – Intranet des objets – l’ensemble des composants de l’internet des objets à l’échelle d’un sujet, d’une industrie partageant une même infrastructure, les mêmes standards. On peut parler d’intranet du commerce « smart retail », de la ville « smart city », de la maison « domotique » d’une usine – industry 4.0.. L’ensemble de ces intranets des objets forment l’internet des objets. Les intranets des objets se recoupent plus ou moins. Il est clair que celui de  la ville se recoupe avec celui des vélos par exemple. Par contre, celui des musées et de la santé ont moins l’occasion de se croiser.

Pour aller plus loin